Publié le 28 avril 2025 dans Ressources humaines
Source : MonASBL et LeGuideSocial
A partir du 1er janvier 2026, une réforme concernant le « trajet de réintégration » des salariés en incapacité de travail entrera en vigueur.
De nouvelles procédures, un rôle accru des employeurs et une collaboration renforcée entre médecins ; de quoi faire évoluer le cadre de la réinsertion des travailleurs en incapacité de travail. Cette modification impactera sans nul doute les professionnels du secteur associatif. Eux-mêmes exposés aux risques d’épuisement ou de maladies de longue durée.
Effectivement, le Conseil des ministres a approuvé un projet d’arrêté royal modifiant le code du bien-être au travail en ce qui concerne la réintégration des travailleurs en incapacité de travail et la prévention des absences de longue durée.
Ce projet d’arrêté royal remlatif la modification du code du bien-être au travail a été approuvé par le Conseil des Ministres et s’inscrit dans l’objectif du gouvernement, tel que repris dans l’accord de coalition, de mettre en place dès le début de la législature "un plan global de prévention et de réinsertion des malades de longue durée visant à responsabiliser les différents acteurs impliqués. Soit les travailleurs, les employeurs, les médecins et les mutuelles", annonce le gouvernement Arizona.
Ce projet adapte le texte actuel du code du bien-être pour y inclure les mesures suivantes qui sont en lien avec le rôle du travailleur, du médecin et du conseiller en prévention-médecin du travail :
Les mesures entrent en vigueur le 1er janvier 2026.
Le projet est transmis pour avis au Conseil d’Etat, au Conseil supérieur pour la prévention et la protection au travail et à l’Autorité de protection des données.